À l’issue du troisième trimestre de l’exercice 2022-2023 (octobre 2022-juin 2023), le groupe Sescom enregistre une hausse de son chiffre d’affaires de 35 % sur un an, à 33,1 millions d’euros. Au cours de la période analysée, l’EBITDA s’est élevé à 2,6 millions d’euros, soit une croissance de 140 % d’une année sur l’autre. Le bénéfice net de la période s’est élevé à 0,5 million d’euros, contre une perte nette de -0,2 million d’euros au cours de la même période de l’année précédente.
Au cours du seul troisième trimestre (avril à juin 2023), Sescom a généré un EBITDA consolidé de 0,8 million d’euros, contre 0,2 million d’euros un an plus tôt. En raison de coûts financiers importants liés à l’acquisition de PCB Technical Solutions, le bénéfice net du groupe au troisième trimestre s’est élevé à 0,2 million d’euros (-0,2 million d’euros l’année précédente).
Selon les dernières données présentées, en juillet 2023, le groupe a généré 5 millions d’euros de revenus, soit 75,5 % de plus qu’un an plus tôt. La majeure partie du chiffre d’affaires provient du secteur de la gestion des installations techniques – 3,4 millions d’euros contre 1,9 million d’euros l’année précédente, et 3,3 millions d’euros en juin 2023. Après juin et mai, juillet a été un nouveau mois où le taux de croissance des ventes d’une année sur l’autre a été supérieur à 70 %.
– En termes de revenus, le mois de juillet a encore été très bon. Cela confirme la poursuite du développement organique de notre groupe, qui est en outre soutenu par les résultats de la société britannique PCB Technical Solutions, acquise en avril. Compte tenu des bons résultats obtenus au cours des trois premiers trimestres de l’exercice, nous nous attendons à des résultats solides tout au long de l’année – commente Sławomir Halbryt, PDG de Sescom.
Au cours de la période T1-T3 de l’exercice 2022/23, les coûts par type du groupe ont augmenté de 30,5 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 31,3 millions d’euros. Cette situation est la conséquence de la consolidation partielle des coûts du PCB, mais aussi d’une augmentation des coûts de la main-d’œuvre et des autres ressources (matériaux et énergie), qui est directement liée à une inflation élevée. En outre, Sescom supporte les coûts d’exploitation de son département hydrogène, qui poursuit ses activités de développement, mais n’a pas encore atteint le seuil de rentabilité.